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Pepita : Embarquer un mini-site ou une application sur la Timeline pour augmenter vos ventes

arnaud lecoufL’effervescence des marques autour des F-boutiques est retombée. Pour autant, Facebook demeure the place to be. Et nombres d’enseignes cherchent encore le moyen d ’ exploiter le filon pour y vendre leurs produits. La société Pépita, leader en matière de solutions pour le social-commerce en France et en Europe, a conçu des applications qui s’ intègrent sur la Timeline. Un objectif : permettre à la marque de vendre via Facebook tout en offrant une nouvelle expérience shopping aux fans.

Vendre. Une obsession et une finalité pour les marques qui espèrent trouver la bonne recette pour commercialiser sur Facebook. A juste titre, les enseignes ont commencé par se focaliser sur l’audience. Car pour mobiliser sa communauté, il doit exister un noyau dur sur lequel se reposer. Mais, paradoxe : d’un côté, nombre d’experts s’accordent à dire que Facebook restera toujours un réseau social et donc un lieu où il est difficile de vendre. De l’autre, derrière l’envie de dialoguer avec leurs fans, les marques ne cherchent qu’à encourager l’achat. Pour Pépita, pionnier de l’animation sur les medias sociaux, répondre à cette problématique consiste à apporter une nouvelle expérience d’ achat aux fans sur leur espace de dialogue. D ’ où l ’ intérêt pour les marques d’être présent sur la Timeline qui peut intégrer un mini-site ou une application qui permet de feuilleter un catalogue, de lire une vidéo. L ‘objectif étant de permettre le partage avec les amis. « Avant de se servir de Facebook comme d’ un levier de croissance, il faut considérer le fan comme un soutien pour la marque et non, comme on a pu le penser aux balbutiements du réseau, comme un consommateur lambda. Le fan qui est bien réel doit être considéré comme un VIP. Et cela sous-entend de lui offrir des ventes privées, de le chouchouter avec des offres spécifiques, bien différentes de celles proposées sur Facebook », commente Arnaud Lecouf, directeur des ventes de Pépita. Pépita InFeed Apps est une solution qui conduit à plus d’interactivité et améliore la visibilité de l’ e-boutique sur Facebook.

L’ application, un outil multicanal pour générer du revenu

Avec une croissance mondiale prévue de +75% d’ici 2015, soit un chiffre d’affaires évalué à 11,5 milliards d’euros (sources : journal du net, Nielsen), le F-commerce est un mode de distribution e- marchand qui s’installe peu à peu comme un relais de croissance non-négligeable. La société Pepita s’est donc lancée dans le déploiement des applications web pour exporter la boutique d ’ une marque sur la Timeline.« La problématique à laquelle nous sommes confrontés, est de concevoir des solutions à fort ROI (retour sur investissement). Notre plateforme réalise aujourd ’ hui plus de 1500 transactions par jour, avec des paniers moyens s ’ élevant à 25,4$. Pour nos clients, c ’ est autant de ventes qui s ’ ajoutent à leur réseau classique de distribution», se félicite Nicolas Stehle, Directeur et co-fondateur de Pépita. En effet, l’expérience montre que le panier moyen d’un fan est supérieur à celui d’un consommateur car celui-ci qui porte une affection à la marque est plus réceptif aux offres. Autres avantages de l’application : l’augmentation de la base de fans car grâce à la publication sur la Timeline, la campagne sur apps profite de la viralité du réseau et gagne tout l’ecosystème du fan. Un bon procédé pour enrichir sa base de données, la qualifier et ensuite mener une une campagne ciblée via des newsletters ou un catalogue. Même les TPE qui ne disposent pas encore de site marchand peuvent en tirer des bénéfices. « Pour leurs opérations à court terme, les petits entrepreneurs créent une application avec un formulaire d ’ inscription, ce qui leur permet de constituer leurs bases de données pour ensuite envoyer des emails et annoncer une campagne promotionnelle », explique Arnaud Lecouf.

Reste le mode de paiement. Toujours délicat sur le réseau. « Facebook est un outil et non une caisse enregistreuse », commente-t-il. Pour limiter les freins lors du paiement, les fans peuvent être redirigés vers le site de la marque ou accéder à une page de paiement sécurisée. « Les taux de transformation sont ainsi augmentés, précise Arnaud Lecouf. Car le marché n’est pas encore assez mûr pour accueillir le paiement sur Facebook. Il faut donc trouver des alternatives pour accéder à des moyens de paiement». Dans cette optique, des monnaies virtuelles ont fait leur apparition. Seul hic, encore destinées aux secteurs du jeu et du divertissement, elles n’ont pas encore percée dans le quotidien. Mais peut être est-ce la prochaine étape …

Pepita gère aujourd’hui 120 000 boutiques dans 27 pays. 8 millions d’internautes français utilisent chaque mois ses solutions.

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Cet article a été rédigé par :


Hélène Leremon

Son credo ? Elle est convaincue qu’il existe une plateforme e-commerce, une technologie, un outil CRM, ou une stratégie qui mène au succès d’une place de marché, d’une enseigne, d’une marque.


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